Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (82)

Fidèle a moi-même ce que m’a dit Georges concernant sa femme m’a mis la puce à l’oreille et hier après l’avoir suivi je sais où ils habitent et comme il m’a dit repartir vers dix-huit heures ce soir, je suis en attente dans la voiture de Valérie devant l’impasse Adonis à mes côtés en garde du corps.

Nous allions repartir quand je vois sortir Océane.
J’aurais pu me tromper et nous aurions attendu pour rien.
La Clio démarre et je la suis, dès qu’elle est sortie de son quartier nous nous arrêtons à un feu.
Je la vois défaire son chignon et faire tomber ses cheveux sur ses épaules.
Elle les recoiffe avec sa main, je suis garé à sa hauteur et je constate que quand ils sont défaits c’est une très jolie femme.
Elle me fait de plus en plus penser à Fabienne cachant sa féminité.

J’ai confié le Caméscope à Adonis qui filme la totalité de la scène placée sur le siège arrière en léger retraît par rapport à la conductrice.
Après trois kilomètres nous entrons dans le vieux Saujon.
D’un coup elle met son clignotant et se gare, je la double et cinquante mètres plus loin j’en la chance de pouvoir en faire de même.
Dans le rétro je la vois ouvrir sa portière et remettre ses chaussures.
Elle se dirige vers la petite rue à cinq mètres d’où nous sommes.
Une enseigne lumineuse indique « bar » avec une flèche incitant à emprunter l’impasse.
Nous sortons et nous la suivons, quand nous arrivons au coin, je la vois passer la porte du bar.
N’étant connus de personne nous entrons et de suite je vois Océane au comptoir avec deux hommes adeptes de la musculation.
Ils ont des bras comme mes cuisses, des tatouages partout, le cou dénudé par les Marcels montre la force qu’ils dégagent, de vrais déménageurs

Nous nous installons dans un coin un peu retiré de la salle non loin des toilettes.

• Bonsoir messieurs-dames, que prendrez-vous ?
• Un café nous suffira.



Il retourne chercher notre commande et en attendant qu’il revienne je me rapproche d’Adonis et à l’oreille je lui demande de me prendre dans ses bras.
Je sors la caméra et sous la table je film le trio.
Les affaires ont l’air d’avancer pour les deux mâles, je dis bien mâles car comme je l’ai dit ils sont assez impressionnants.
Impossible d’entendre ce qu’ils disent mais les rires traduisent le degré de connivence qu’Océane a avec eux,
Ces trois-là se connaissent et certainement intimement car la femme de George accepte chaque fois qu’une main vient se balader sur son corps.

• Christine, ils se connaissent, ça sent le rencard, ils l’attendaient.

J’évite de répondre, plongeant mon nez dans son cou car ils se déplacent et viennent dans notre direction.
L’un des hommes a pris notre amazone par la taille.
Je prends Adonis par la tête et je l’embrasse comme des amoureux se sentant dans un coin tranquille.
À côté des toilettes, une deuxième porte marquée « privée. »
Le trio l’ouvre et j’ai le temps de voir qu’elle donne sur une cour.
La porte refermée est loin de faire mon affaire.
Je me lève.

• Attends-moi mon cœur je vais aux toilettes.

Je dis ces mots assez forts pour que le patron qui discute avec un client m’entende.
Les portes sont dans un renfoncement, le patron ne peut les voir.
Prestement j’ouvre la porte de la cour et me glisse à l’intérieur.
Sur le côté des cassiers à bouteilles vides me permettent de me cacher.
Océane est là à quatre mètres de moi et coup de chance les trois complices sont tourné et dans l’impossibilité de me voir.
Elle est agenouillée devant les deux hommes et a sorti leur queue.
Elles sont presque aussi grosses que leurs bras, ces mandrins me faisant envie mais je suis en mission même si personne ne la commander.
Elle a du mal à les prendre dans la bouche mais se débrouille pas mal pour une femme qui se fait baiser par son mari uniquement dans le noir en le mettant simplement dans sa chatte.

L’un des hommes l’aide à la relever, lui enlève sa jupe qui est attachée comme un kilt par une grosse épingle.
Elle me montre son cul nu car comme moi elle a oublié de mettre une petite culotte, cela me confirme qu’elle savait être attendue par les deux forts des halls en venant dans ce bar et était prête à se faire baiser.
L’homme qui l’a relevé la prend sous les fesses et la laisse carrément tombée sur sa verge.
Elle le prend par le cou et l’embrasse goulûment.
Je continue à filmer, il la fait coulisser plusieurs fois et l’autre homme se présente à la porte arrière de la garce qui le reçoit sans aucun problème.
Je dirais même avec une grande habitude, rapidement prise des deux côtés sans toucher le sol, Océane commence à chanter.
C’est la première fois que je vois une femme se faire prendre en double pénétration sans toucher le sol.
Je rêve d’être à sa place, mais je me suis donné une mission et je m’y tiens.
Dans un mouvement l’homme qui l’encule la libère et sans la poser, l’arrache du sexe qui la taraude pour la retourner et l’empaler sur le sien.
Rapidement son copain investit son anus et la garce couine de plus belle.

• Mes salops j’ai bien fait de venir, chaque fois que je vous vois vous me ramoner si bien.
Vous allez me faire partir avec vos grosses queues qui me défoncent. Oui, Oui, Ouiiiiiii.

Chaque mot qu’elle vient de prononcer montre la jouissance montant dans ses entrailles prises en double pénétration.
Ils se dégagent de nouveau, j’en profite pour changer la cassette, il faut que j’aie toutes les scènes intéressantes.
La salope se place en position de levrette la tête posée dans ses bras.
Sa croupe mise en évidence attire les verges qui rapidement viennent à tour de rôle dans son anus ou sa chatte, pour la baiser, ils la prennent par les hanches et la font pivoter pour qu’elle se retrouve dans l’axe du second.

• Mon cul, ma chatte, vous êtes de vrais taureaux !

Je la vois repartir vers les sommets de sa jouissance, il est bien dommage que je film sinon c’est moi qui me doigterais la chatte.

Je verrai plus tard.

• Arrêté, j’ai assez joui, je veux boire votre sperme, vos couilles doivent être très pleines depuis huit jours que j’étais dans l’impossibilité de venir mon mari étant là.

Ils la libèrent, elle se retourne et elle arrive à mettre les deux glands dans sa bouche. Ils remplissent sa cavité buccale et je la vois déglutir afin de ne rien perdre.

Je profite de ce qu’ils se rajustent pour opérer un repli, j’entre dans les toilettes où je tire la chaîne comme si je venais de faire mes besoins.
Quand je sors je bouscule même le trio sortant de la cour, le regard que me lancent les deux baraques me fait penser que si je leur demandais, ils accepteraient de retourner dans l’arrière-cour et auraient encore assez de jus pour me remplir ma bouche à moi aussi.

Quand je le rejoins Adonis commençait à s’inquiéter et était près à venir à mon secours.
Nous sortons avant qu’Océane ait fini de boire son demi qu’ils se sont fait servir, baiser cela lui a donné soif surtout après les scènes hard que mon Caméscope a filmées.
Nous rejoignons la voiture et nous retournons vers la maison de Georges.
Je me gare carrément devant chez eux.
Une demi-heure après elle arrive.
La nuit est tombée mais je prends Adonis dans mes bras comme des amoureux cherchant un coin tranquille pour baiser.
Elle entre sans faire attention à nous, la lumière s’allume dans le séjour puis dans la chambre.
Les baies vitrées nous permettent de la voir se déshabiller et sortir de notre champ de vision pour certainement aller se laver après les belles saillies qui l’ont comblée.
Dix minutes et nous la revoyons venir dans la salle habillée d’un peignoir.
Elle s’essuie les cheveux avec une serviette et la noue comme un turban.
Nous la voyons prendre ses vêtements affriolants et les plier soigneusement avant de les placer dans l’armoire au-dessous d’autres affaires.
J’ai filmé ces rangements en zoomant.


Il est temps pour nous d’intervenir. Je remets la cassette à zéro et nous nous présentons à la porte du perron.
Je sonne et quelques minutes après le petit Juda placé sur la porte s’ouvrent.

• Oui c’est pourquoi ?
• Océane ?
• Qui êtes-vous ?
• Regarder ces images et après ouvrer-nous, vous n’avez strictement rien à craindre.

Je place le Caméscope pour qu’elle puisse voir les exploits sexuels qu’elle a réalisés avec ses déménageurs.

• Ou avez-vous filmé ça ?
• Ou avez-vous baisé !
• Je refuse d’ouvrir.
• Les cassettes que nous avons tournées se retrouveront sur le net et des photos bien choisies arriveront chez tous vos voisins montrant la salope que tu es.

La porte s’ouvre.

• Entrez, vous me faîte peur.

Malgré sa peur, elle nous fait entrer dans le salon et nous fait asseoir sur le canapé.
Avant de m’asseoir après avoir changé une nouvelle fois la cassette, je le pose sur le guéridon près de l’entrée tournée vers nous.
Elle s’assoit sur un fauteuil les jambes repliées sous elle, sa robe de chambre est entièrement fermée.

• Pourquoi m’avez-vous filmée ?
• Est-il exact que tu n’acceptes de baiser avec ton mari que la lumière éteinte sa queue recouverte d’une capote en t’empalant simplement sur sa bite sans aucune préparation qu’une petite masturbation ?
• Qui vous a dit cela, mon mari ?
• Qu’importe je le sais !
• Oui mais depuis que nous sommes ensemble il se contente de cela.
• À ce que l’on voit sur ce film, tu aimes le sexe même hard tu aurais pu prendre l’initiative.
• Comme vous l’avez vu au café, je suis une passive, j’ai accepté tout ce qu’ils m’ont fait.
• Tu leur as bien demandé à venir décharger dans ta bouche.
• Oui en paroles j’arrive de temps en temps à demander ce genre de choses lorsque je suis excité sinon j’attends que l’on se serve de moi.
Que voulez-vous pour que je récupère ces bandes, nous sommes loin d’être riches ?
• Ferme tes rideaux que personne ne nous voit de l’extérieur.

Elle se lève et fait ce que je lui ai demandé…

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